Lubéron Provence

Les Ocres de Roussillon



Pour les amoureux de la nature et des belles balades en plein air, les Ocres de Roussillon seront une alternative de choix. En effet, cette destination pour les vacances se veut être inoubliable. Empreinte d’histoire et surtout magnifique au niveau de l’esthétique et du paysage, les Ocres de Roussillon sauront ravir petits et grands pour des vacances inédites.

Les Ocres de Roussillon : présentation générale

Clairement, les Ocres de Roussillon représentent un sentier qui dispose d’une excellente notoriété. On parle alors d’une des activités à ne surtout pas rater lorsque vous vous trouvez à Roussillon. Clairement, ce sentier dans les anciennes carrières d’ocres va de Roussillon à Gignac. Ainsi, le parcours passe par Villars, Gargas et Rustrel. Si les carrières d’ocre sont tombées dans l’oubli au fur et à mesure du temps, le sentier a été remis au goût du jour pour le plaisir de tous.

Si les traces du passé et les belvédères aménagés forment l’accessibilité du site, les aires de parking rendent, aujourd’hui, cette activité beaucoup plus pratique. Bien entendu, les Ocres de Roussillon plaisent, avant tout, par son paysage façonné par les intempéries mélangeant toujours l’action de l’homme et la volonté de la nature.

L’histoire du site

L’histoire du site est intimement liée aux carrières d’ocres. Il faut savoir que ces pigments naturels ont toujours été présents sur les parois des grottes et avaient déjà été utilisés depuis la préhistoire. C’est seulement en 1780 que Jean Etienne Astier découvrira que l’ocre traité est un pigment inaltérable et non toxique. Suite de quoi, il ouvre la porte aux ocriers dans la région. L’exploitation de ce minerai deviendra rapidement industrielle par la suite.

Cette exploitation pourtant florissante connaitra le début de son déclin en 1929 avec l’apparition des colorants de synthèse. Une agonie silencieuse puisque la production est devenue résiduelle aujourd’hui. Un effet amortit par l’installation des familles des militaires au plateau d’Albion.